Bonjour tout le monde !

Ici, retrouvez les billets publiés les 3 premières années d’ETK Onilatki (2006-2007-2008).

Pour lire la suite, rendez-vous sur http://etkonilatki.canalblog.com

Amusez-vous bien !^^

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Une autre charade…

 Mon premier est souvent dit « à tout faire ».

Mon deuxième est un animal très doux, mais réputé têtu.

Mon troisième est au milieu de la figure (enfin, la plupart du temps).

Et je vous souhaite mon tout !!!

 

Attention ! Onilatki déménage en 2009 ! Pour lire les billets de 2006, 2007 et 2008, restez ici. Pour découvrir les nouveautés, rendez-vous là : http://etkonilatki.canalblog.com  Bisous à tous ! ^^

Ce que vous trouverez sur Onilatki en 2009 :

Toujours le joyeux bric-à-brac ! Avec des rêves, des contes, des petites histoires, des jeux, des coups de gueule, du rugby (et d’autres sports), … Et plein d’autres surprises ! Et surtout, n’oubliez pas :

RÊVEZ, AMUSEZVOUS, ET COLOREZ VOS VIES !!!

Une petite charade…

 

Mon premier est un pronom personnel sujet élidé.

Mon deuxième est un animal qui sauva Rome.

Mon troisième est un organe qui va par paire.

Mon quatrième est une forme japonaise de théâtre.

Mon cinquième est la douzième lettre de l’alphabet.

Et je vous souhaite mon tout !!!

Dans la solitude des Fêtes…

Des personnes seules, il y en a pendant toute l’année. Cependant, en cette période des Fêtes, la solitude s’accentue. Ou plutôt le sentiment de solitude, car l’accent est mis sur l’ensemble, le groupe, le rassemblement familial ou amical. Toutefois la solitude n’est pas uniquement physique. On peut passer les fêtes au milieu d’une foule ou d’un groupe et s’y trouver très seul. Et il y a les absents, aussi… Ceux qui manquent, temporairement mais surtout définitivement, surtout quand il s’agit des premières fois sans eux…  Mais les rues sont jolies, toutes décorées ; il y a une ambiance particulière, qui commande la fête. Car les jours sont plus courts que les nuits, mais commencent à rallonger. Alors, même si vous vous sentez seuls, meilleures fêtes possibles à vous ! Et aussi à ceux qui ne le sont pas !^^

Tous cannibales !

Nous mangeons des Bulgares, des Viennois, des Liégeois, des Américains, des Alsaciennes… Nous avons mangé des « têtes-de-nègre » (dont le nom a été depuis peu changé en « tête au chocolat »)…

Nous sommes tous anthropophage!!!!!!!

Je présuppose que nous sommes tous humains, donc je vais jusqu’à dire que nous sommes tous cannibales ! Car ne confondons pas anthropophage (du grec άνθρωπος (je transcris en alphabet latin pour les barbares : anthrôpos) = être humain et φαγειν (phagein) = manger) et cannibale (mot originaire des Caraïbes), qui désigne un être qui va manger un être de la même espèce (donc, un humain qui mangera un humain). On peut être anthropophage sans être cannibale, cannibale sans être anthropophage (vous avez remarqué mon beau chiasme ?), et à la fois cannibale et anthropophage.

NB : « barbare » = ici personne ignorant le grec.

Et c’est la fin du cycle « Nourriture Humaine » pour cette année. J’espère ne pas vous avoir fait trop peur !^^

Ils l’ont fait pour survivre.

 Vous en avez très certainement entendu parler. Un avion qui transportait des joueurs de rugby et leurs familles s’est écrasé dans la Cordillère des Andes. Les survivants sont vite arrivés à cours de vivres, et les secours ne pouvaient pas s’approcher de la zone. Alors, pour survivre, ils ont mangé ce qu’il y avait, c’est-à-dire la chair des morts. C’était ça ou mourir de faim.

J’avais douze ans quand j’ai entendu parler de cette aventure, qui m’a marquée. Et depuis, tout ce qui est « nourriture humaine » me fascine. Bon d’accord, je faisais déjà des repas d’ogre avec mes poupées quand j’étais petite, mais disons que ça a éclairé la question sous un autre angle : là, ça s’était passé en vrai, pas seulement dans les contes ou les légendes.

Sur le coup, ça m’a paru bizarre, et je me disais que jamais ça ne me viendrait à l’idée de manger un autre humain. Mais certainement que ces survivants se disaient la même chose avant d’être confrontés à ce dilemme. Je pense qu’on ne peut pas vraiment savoir, ni réagir en « moi je ferais ci, moi je ferais ça » : il y a une différence entre la situation discutée calmement le ventre plein et la situation vécue. Quand on a faim…

Une loi anti-trust dans le domaine sportif ?

En ce moment, à Rijeka (prononciation : ri-yé-ka) en Croatie, ce sont les Championnats d’Europe de Natation en bassin de 25 m (dit « petit bassin », par rapport au « grand » de 50 m). Or, une surprenante règle empêche qu’il y ait trois nageurs du même pays en finale. Est-ce pour éviter les triplés, les podia « trustés » par un seul pays, afin de laisser la chance à la concurrence de pouvoir s’exprimer et se développer ? Une loi économique (la loi anti-trust, pour favoriser la concurrence) appliquée ici au sport…

Virelangues, vire-langues…

Pour entraîner mes élèves à bien articuler, je leur fais parfois des séances « vire-langues »… Certains se sont même amusés à en créer ! Mais vous aussi, essayez donc de prononcer les phrases ci-dessous !

 

Les chaussettes de l’archiduchesse sont-elles sèches, archi-sèches ?

Si six scies scient six cigares, cent scies scient cent cigares et cent six scies scient cent six cigares ; si six cents scies scient six cents cigares, six cent six scies scient six cent six cigares.

 

La partie arbitrée avec brio par Bertrand au Parthénon vit la victoire des Spartiates.

 

Je veux et j’exige d’exquises excuses.

[il faut faire toutes les liaisons !]

 

Mona mène à Némée l’ennemi nommé.

 

Faites abstractions des tracts restants.

[Attention : ne pas ajouter de « e » au mot « tracts » !]

 

Si Lise s’enlise dans le lisier, Lise salira ses lisses lacets.

 

Rat vit rôt, rôt tenta rat ; rat mit patte à rôt et rôt brûla rat.

 

Un bon chasseur doit savoir chasser sans son chien.

 

Un chasseur sachant chasser sans son chien est un bon chasseur sensé.

 

« Gros gras grand grain d’orge, quand te dé-gros gras grand grain d’orgeras-tu ?

– Je dé-gros gras grand grain d’orgerai quand tous les gros gras grands grains d’orges se seront dé-gros gras grands grains d’orgés. »

 

« Petit pot de beurre, quand te dé-petit pot de beurreriseras-tu ?

– Je dé-petit pot de beurreriserai quand tous les petits pots de beurre se seront dé-petits pots de beurrerisés. »

 

« Substrat galactique, quand te dé-substrat galactiqueras-tu ?

– Je dé-substrat galactiquerai quand tous les substrats galactiques se seront dé-substrats galactiquisés. »

 

« C’est combien, ces six saucissons-ci ? sussurra Cécile.

– C’est six sous, ces si saucissons-ci.

– Si ces six saucissons-ci sont (à) six sous, ces six saucissons-ci sont chers ! »

 

Steve Mc Quinn m’a quitté en mastiquant son steak haché sans acquitter son ticket de quai.

 

Presque directement après le coup d’envoi, David Skréla s’empara du ballon, alterna crochets et course rectiligne, résista aux plaquages d’Imanol Harinordoquy et de Dimitri Yachvili, et inscrivit, malgré le retour de Damien Traille, le premier essai du match Biarritz-Toulouse.

[à prononcer sur un ton vif et rapide, en articulant bien, sans ralentir sur les noms propres.]

 

Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? (Racine, Andromaque, réplique prononcée par Oreste, vers la fin de la pièce.)

 

Sacha, le chasseur aux chaussettes, en chaussons mais sans chaussures, sait chasser sans son chien Chichon, saucissonné sous sa chaise blanche, cassée par son chat Choucroute qui s’est caché sous le perchoir de la perruche en peluche Perruque, partie sans souci chercher chez Suzon les sushi de Chouchou (phrase inventée par les BTM Prothèse Dentaire 1ère année à l’occasion d’un cours de français, complétée par les Prépa BTS Diététique à lors d’un autre cours de français, et remise en forme par moi tout spécialement pour ce billet.)

 

Camion rouge, camion jaune. ( X 5, puis X 10)

 

Bidon d’eau, bidon d’huile. ( X 5, puis X 10)

 

Pruneau cru, pruneau cuit. ( X 5, puis X 10)

 

L’eau des nouilles me coule le long des coudes. ( X 3, puis X 5, puis X 10)

 

Le Valois-Clichy. ( X 5, puis X 10)

 

Mes coudes se mouillent. ( X 5, puis X 10)

 

D’autres vire-langues sont proposés ici : http://michbuze.club.fr/lavache/virelangues.htm.

Exercez-vous et amusez-vous bien !^^

Un petit jeu…

Voici un petit texte, où un mot déclaré tabou a été remplacé par des *** chaque fois qu’il apparaissait. Quel est ce mot ?

 

Elle portait un *** bleu roi, tout brodé d’or et de paillettes. Ses cheveux bruns étaient relevés en un élégant chignon orné de fleurs bleues, avec des boucles cuivrées qui retombaient en ondulant sur ses épaules. Personne ne l’avait reconnue, sauf son frère : il ne connaissait que trop bien ces étonnants yeux de *** ! Il s’approcha d’elle, et lui souffla doucement : « une de tes fleurs a un ***.

−Non, répondit-elle à voix basse, c’est là où j’ai caché le talisman. »

−Le buffet est ouvert ! » intervint une voix forte. Vous avez le choix : les légumes, carottes, radis, mâche ; les viandes, bœuf, porc ; les poissons, sole, ***, roussette…

−Et qu’a-t-on donc à boire ? grommela un homme déguisé en vieux *** de mer.

−Eau, rhum, jus de fruits, vins… »

Tandis que certains s’éloignaient à pas de ***, d’autres mus par une faim de *** se jetaient sur le buffet. Les yeux de la jeune fille et de son frère se croisèrent : c’était la pleine lune, elle devait s’isoler : rien ne prouvait l’efficacité de ce talisman réputé paralycanthropique…

 

Si vous trouvez aux premiers ***, vous gagnez 10 points ; 9 si vous trouvez aux deuxièmes, et ainsi de suite. Ça y est ? Vous avez trouvé ?

Réponse en commentaire dans une semaine. D’ici-là, amusez-vous bien !^^

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